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Le courrier des entreprises

Non, Limagrain ne fait pas travailler des enfants en Inde !

Limagrain, mis en cause dans l’émission Cash investigation sur le thème du « scandale de la tomate », répond fermement aux accusations d’Elise Lucet.

Limagrain, groupe coopératif fort de 2 000 agriculteurs adhérents, aujourd’hui 4ème semencier mondial, réagit fermement dans un communiqué aux accusations portées dans l’émission Cash investigation, sur le thème du « scandale de la tomate » :


« les images vues dans le reportage sont choquantes. Mais ce que l’on a vu, ce ne sont pas des sites Limagrain.Le travail des enfants est inacceptable. En partenariat avec des ONG locales, nous luttons contre ce fléau, encore malheureusement trop présent en Inde.

Depuis que Limagrain a une filiale en Inde, nous avons fait de la lutte contre le travail des enfants une priorité.

Les chiffres montrés dans le reportage de cash Investigation sont émis par l’ONG ICN et concernent la situation générale en Inde.

Concernant Limagrain, en 2018, cette même ONG a produit un rapport qui indique que pour les sous-traitants ayant travaillé pour Limagrain, seuls deux enfants ont été Identifiés sur 700 fermes contrôlées (soit moins de 1%),

Ces situations ont été Immédiatement traitées par nos Responsables des Programmes Sociaux.

Tant qu’il subsistera un enfant au travail, ce ne sera pas satisfaisant et nous ne baissons pas la garde.

Voici notre engagement et notre plan d’actions :

Sur nos sites Limagrain, nous garantissons qu’il n’y a pas de travail d’enfants de moins de 16 ans.

Pour les producteurs sous-traitants, nous interdisons le travail des enfants et nos actions portent sur 3 axes:

  • Une clause contractuelle Interdisant le recours au travail d’enfants,
  • Des actions de sensibilisation et des audits: 100 % des producteurs que nous suivons directement ont été sensibilisés sur les 2 dernières années et sont audités par nos Responsables de Programme Soclaux, et nos 27 superviseurs de production. Nous avons mandaté une société d’audit externe – SVRL.
  • Des sanctions, allant jusqu’à la perte du contrat de production de semences.

Nous avons donné tous ces éléments factuels à Cash Investigation avant diffusion du reportage mais ceux-ci n’ont pas été repris au montage.

 

mm

La Rédaction du Courrier des Entreprises

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